• Les déferlantes

    Des solitudes et des secrets à découvrir. Des silences aussi. C'est souvent oppressant mais la narratrice, brisée au départ, va lentement et douloureusement revenir à la vie.

    En attendant elle est venue se réfugier à La Hague, battue par les tempêtes, où elle arpente les landes et observe les oiseaux migrateurs.

    EXTRAIT

    "Deux grands goélands sont venus gueuler devant les bateaux, le cou étiré, les ailes écartées, tout le corps tendu vers le ciel. Brusquement, ils se sont tus. Le ciel s'est épaissi encore, il est devenu très sombre mais ce n'était pas la nuit.

    C'était autre chose.

    Une menace.

    C'était cela qui avait fait taire les oiseaux.

    On m'avait avertie, quand ça va commencer, il faudra plus être dehors." 

    « Tout doré Praline »

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